Depuis le tout début de l’histoire, les femmes ont toujours voulu un homme fort. Parce qu’une femme est aussi une mère. Dans les temps anciens, les femmes devaient protéger leurs enfants des animaux sauvages et des conditions naturelles dangereuses.
À cause de cet instinct, la femme a cherché un homme qui protégerait et prendrait soin de son enfant. C’est une loi très normale et naturelle. Le temps est passé et le monde a changé. La lance et les muscles puissants ont cédé la place au dollar et à l’euro. Parce que maintenant la force est l’argent.
Bien qu’il n’y ait aucun danger d’animaux sauvages, les conditions de vie africaines sont encore très difficiles. Surtout pour les femmes. Si une femme commence à travailler n’importe où, elle reçoit un salaire inférieur à celui des hommes.
Le manque de pouvoir économique des femmes les inquiète aussi pour l’avenir. Parce qu’une femme veut toujours élever son enfant de la meilleure façon. Elle ne mange pas sans nourrir son enfant et ne s’habille pas sans l’habiller. C’est tout à fait normal parce que la femme est la mère.
La difficulté des conditions de vie et la peur de l’avenir obligent parfois les femmes à prendre de mauvaises décisions. En fait, c’est une pensée innocente. Mais les hommes abusent de cette situation. Je les décris comme des victimes innocentes. Parce que penser innocemment ne change rien au fait qu’elle deviendra une victime. En fait, elle ne veut pas grand-chose. Elle a le désir naturel d’être aimée, respectée et protégée.
D’un autre côté, il y a celles qui se concentrent sur la vie de luxe et le divertissement. Ce sont celles que j’appelle des victimes dangereuses. Avec leur cupidité, c’est elles qui sont chassées à la fin. Il y a aussi des femmes chasseuses. Elles obtiennent ce qu’elles veulent et vous le saurez bien plus tard.
La plupart des relations hommes-femmes en Afrique sont basées sur des intérêts et des avantages. Les femmes recherchent le confort, les hommes recherchent la beauté. Mais le facteur de l’homme blanc du grand patron est très différent de toutes ces relations.
En fait, les blancs sont divisés en deux (2). Vieux patrons riches et jeunes salariés. Bien que les deux soient différents, ils sont considérés dans la même catégorie. Car même s’il a un emploi, l’homme blanc gagne au moins 1000$ à 2000$ en moyenne. Cela équivaut au salaire minimum de 20 personnes. C’est une très grosse somme d’argent pour les conditions africaines.
Pour cette raison, être blanc est un facteur suffisant pour avoir de l’argent. C’est une opportunité suffisante pour les femmes qui recherchent le confort. L’homme blanc est au chômage dans son pays ou gagne très peu par rapport au pays dans lequel vous vivez ( Afrique ) . Pour cette raison, elle préfère l’étranger. Parce que l’homme blanc en Afrique vaut de l’argent, les gens s’y intéressent davantage et font des demandes. Même un Africain très riche peut très facilement demander de l’argent pour la nourriture. Parce que les algues sont comme ça.
Avec le pouvoir de l’argent en poche, l’ego de l’homme blanc commence à monter. Mais il est seul en Afrique. Comme il n’y a pas assez de revenus et d’opportunités dans son propre pays, le potentiel de relation est faible. Mais en Afrique, il est comme Superman. Ce que l’homme blanc veut, c’est avoir une relation avec son argent, ce que veulent les femmes, c’est prendre l’argent de l’homme blanc. Aussi mauvais que ce soit, c’est juste.
A part ça, il y a celles qui ont des rêves vraiment innocents. Il y a celles qui sont obligées de rêver innocemment. Une étudiante universitaire, dont la mère et le père sont au village, essaie de payer ses frais de scolarité. Elle promet de faire tout ce qu’un vieil homme riche veut en échange de ses frais de scolarité. Les 4 années de scolarité de la fille, c’est peut-être le salaire d’un mois de l’homme blanc. Alors que cette fille est prête à polluer son corps, son âme et ses rêves pour obtenir le diplôme, l’homme n’hésite pas à polluer l’âme, les rêves et les souvenirs d’une jeune fille pour 3 centimes et 5 minutes de plaisir. Quand c’est fait, il bloque et passe.
Lorsque des personnes ayant des intérêts se réunissent, celui qui joue le mieux gagne. C’est ce qui est considéré. Cependant, à mon avis, les deux parties qui jouent à ce jeu perdent. Tant que les femmes regardent les poches des hommes et que les hommes regardent la beauté des femmes, cette guerre d’exploitation ne prendra pas fin. Ni l’un ni l’autre n’est gagnant. L’amour n’a ni natif ni étranger. Aucun billet de banque ne peut remplacer le sentiment de confiance.
Être humain ne devrait pas être si difficile à comprendre. Les gens peuvent aimer sans aucun intérêt ni bénéfice, tant qu’ils n’oublient pas qu’ils sont humains. Les hommes ne peuvent pas devenir des hommes avec de l’argent. Qu’en est-il de la quantité d’argent qui nettoie l’âme, les souvenirs et les rêves des femmes ?
Sachant que vous avez brisé le cœur de quelqu’un, même la sardine que vous mangez en la mettant entre le pain donne du bonheur. Si vous vous sentez belle, peu importe que votre tenue soit neuve et chère. S’il y a quelque chose d’aussi précieux que de faire confiance à quelqu’un, ce n’est pas pour briser votre confiance. Et le prix de l’amour non partagé ne peut être payé avec aucun prix matériel. Pas avec de l’argent ou quoi que ce soit d’autre. Il n’y a pas de nation de couleur. Seuls les pas à faire sur le bon chemin nous mènent au bonheur. Le reste est toujours abîmé…
Yilmaz Yildirgan