L’histoire vraisemblable et pourtant réelle s’est passée au mois de décembre dernier à l’hôtel Kala Plus de Dubréka. Là, c’est une employée dudit hôtel, en passe de se voir expropriée de son téléphone, aurait préféré volontiers livrer son corps, rapporte nos confrères de VisionGuinee.Info
Une ‘‘occasion’’, telle une balle au rebond, saisie par le présumé bandit qui passa aussitôt à l’acte. Car, Alia Bangoura a eu des rapports sexuels avec sa ‘‘proie’’ de victime.
Est-ce un viol ou une autre appellation à ce délit ? Qui mieux que les juristes ou les agents de l’Office de protection du genre, de l’enfance et des mœurs (Oprogem) pour le qualifier ?