Journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes : AMALI et WAFRICA se donnent les mains pour mettre fin aux VBG!

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À l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes, les ONGs AMALI et WAFRICA en collaboration avec l’ambassade de France en Guinée et en Sierra Leone, ont organisé ce 25 novembre 2021, un événement qui a réuni des acteurs de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG). Cet événement avait pour but de créer une synergie d’actions entre ces différents acteurs.


Cette journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes « est une opportunité de rassembler les acteurs œuvrant dans le domaine des VBG, » affirme Houraye Bah présidente de l’ONG AMALI au micro de Love Fm.  


Elle poursuit en ces termes, « nous avons décidé d’organiser des tables rondes de concertation des acteurs qui se battent pour les droits de la femme. Il y a eu une synergie d’actions parce que seule on va vite comme on le dit, mais ensemble on va plus loin.  Nous sommes en Guinée, nous savons tous ce qui se passe. Même les sourds et les aveugles savent ce qui se passe dans ce pays. On a assez de statistiques pour décrire ou définir toutes les violences basées sur le genre et particulièrement sur la fille et la femme dans ce pays. Donc l’objectif est qu’il y ait une synergie d’actions. » Dixit Houraye Bah.


Le 25 novembre étant la journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes, est aussi le début des 16 Jours d’activisme contre la violence basée sur le genre. Cette année le thème est « Mettons fin aux violences faites aux femmes dès aujourd’hui ».


La représentante de la délégation de l’Union Européenne, présente à l’évènement de AMALI et WAFRICA, dans son discours a notifié que les ambassades de plusieurs pays d’Europe basées en Guinée ont des activités durant ces 16 jours.  « L’Espagne a lancé un concours de court-métrage (une minute, une violence), la Belgique également a lancé un concours de meilleure vidéo qui dénonce la violence basée sur le genre. La délégation de l’Union Européenne a elle aussi prévue deux activités allant dans ce sens. »  Confirme Jurate Smalskyte.


Ce projet de lutte contre les violences faites aux femmes, regorge en son sein huit (8) ONGs à Conakry et à l’intérieure du pays, d’après les représentant-es de l’ambassade de France en Guinée.

Idiatou bella Diallo

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