Safiatou Baldé est née à Kindia, elle a grandi entre cette ville nommée « la cité des agrumes », Kouroussa en Haute Guinée et la capitale Conakry. Cependant elle a étudié à Conakry. Aujourd’hui, elle est la présidente de la Jeune Chambre Internationale de Guinée, elle est aussi assistante Business Management à American International School of Conakry.
Safiatou Baldé a fait son primaire à l’école primaire d’Almamya, le college au College 1 Boulbinet, le lycée à 28 Septembre où elle a fait son baccalauréat en Sciences Mathématiques. Elle fait son université à Gamal Abdel Nasser en MIAGE (Méthode Informatique Appliquée à la Gestion des Entreprises), où elle sort avec une maîtrise en 2010. Safiatou a commencé à apprendre la langue anglaise dès sa 6eme année à l’école primaire. Elle a fait au fil des ans plusieurs formations au niveau national et international, surtout avec la JCI en tant que membre de cette organisation.
En 2011, Safiatou Baldé débute sa carrière professionnelle avec une société allemande, où elle était stagiaire. Ensuite en 2012 elle décroche son tout premier emploi avec une compagnie minière où elle a été au poste d’assistante Camp Manager, pour terminer en tant qu’assistante du Country Manager. Elle y quitte en 2016, la même année elle décroche son boulot à American International School of Conakry en tant que Procurement Officer, aujourd’hui elle est assistante Business Management. Entre temps, elle est dans la vie associative et l’humanitaire.
Dans la vie associative, Safiatou a entamé au début du commencement pour mériter ce qu’elle a aujourd’hui. Elle a commencé avec Jeunesse Royale lorsqu’elle était au lycée, puis dans une association de parents d’élèves où elle représentait son père. En 2008 elle adhère à la Jeune Chambre Internationale de Guinée, elle gravit tous les échelons d’année en année. De son intronisation en 2009, à directrice de projets jusqu’au poste de présidente locale, Safiatou Baldé a été élue en 2021, la présidente de la JCI Guinée. Dans la JCI, elle est aussi l’une des rares femmes formatrices.
Aminata Diallo